La Sono-thérapie ou Toucher par les Sons

La Sono-thérapie ou Toucher par les Sons est une discipline à la fois nouvelle et ancienne de relaxation profonde afin d’apporter du bien-être aux clients qui nous rendent visite.

La Sono-thérapie permet le soulagement des souffrances en technique complémentaire de soins, et l’allègement des symptômes dans le traitement de douleurs articulaires et musculaires, troubles digestifs, migraines, acouphènes, rhumatismes, fibromyalgie, troubles du sommeil, stress, anxiété, phobies, syndrome dépressif, accompagnement des mourants… La médecine se sert aujourd’hui des sons dans la lithotritie (utilisation des ultrasons en ondes de choc pour dissoudre les calculs rénaux), dans les diagnostics par imagerie utilisant l’échographie (scanner à ultrasons). La médecine et les patients apprécient ces techniques non-invasives.

Un principe scientifique permet d’expliquer comment les sons des bols peuvent soulager les souffrances : c’est le principe de la résonance, illustrée par la loi dite de « vibration sympathique ». La maladie et la douleur qui correspondent à des fréquences, apparaissent lorsque le corps perd sa fréquence d’harmonie. En très résumé, l’application de fréquences de rééquilibre permet de retrouver l’harmonie perdue. La sono-thérapie est vieille comme le monde. A notre époque où de plus en plus de neuroscientifiques mettent en évidence les bienfaits de la méditation et de la relaxation d’une part et de l’impact incroyable des vibrations sonores et musicales sur le cerveau et les circuits neuronaux, d’autres part, nous avons la capacité d’entrevoir les perspectives étonnamment prometteuses qu’offre la combinaison de ces deux voies : la pratique de la méditation et la pratique des sons. La Sono-thérapie est une sorte de méditation sonore.

Et il n’est pas étonnant par ailleurs de constater à quel point la pratique sonore au sens large a de tout temps accompagné les multiples démarches spirituelles. Pensons aux chants böns et tibétains, au didgeridoo australien, aux tambours de la terre de Kama (Afrique), aux rituels pythagoriciens, celtes, cathares, chamaniques, amérindiens, juifs, musulmans, hindous, islamiques, chrétiens et la liste pourrait s’allonger facilement : il est aisé d’y trouver une constante sonore.

Le son est là qui accompagne, soutient, protège, soulage, inspire et même guérit. Depuis des temps immémoriaux, le son est utilisé dans un contexte thérapeutique, par la musique, le chant et la percussion.

J’ai étais attirée par les bols tibétains, l’objet est beau et j’en connaissais un peu l’histoire : Aux origines, des forgerons nomades pratiquant le chamanisme apportèrent ces bols au Tibet. Ils sont largement utilisés depuis des siècles et principalement par les moines bouddhistes pour la méditation, la musique religieuse, les offrandes, en Feng shui, la mise en équilibre ou harmonisation des chakras. Mais également pour la purification des minéraux utilisés en litho-thérapie.

Il existe beaucoup de type de bols, les bols chinois n’ont pas la même qualité sonore et thérapeutique que les bols tibétains qui eux possèdent 7 métaux. Il est dit que les bols chantant émettaient une note ressentie par corps notamment au niveau des chakras, la vibration qui en résultait se propager dans tous les liquides qui nous constituent. Nos organes étaient massées ce qui apporterai un bien être, un lâcher- prise, une décristallisation des toxines. Les sons des bols tibétains libèrent les tensions accumulées, nuisibles à votre état de bien-être et à votre épanouissement.

C’est après avoir reçu un massage sonore, cette parenthèse enchantée, ce voyage vibratoire m’a tellement surprise, détendue, qu’il n’en fallait pas moins pour éveiller ma curiosité. J’ai donc appris cette technique de relaxation, je l’ai complété avec les diapasons thérapeutiques et un carillon et je suis heureuse de vous faire découvrir à mon tour ce doux moment.

Cependant, il me parait important de vous faire prendre connaissance du cadre légal :

je m’engage à :

  • respecter la confidentialité du travail thérapeutique.
  • rester neutre, sans jugement aucun quelle que soit la situation et le degrés de relation entretenue avec les consultants.
  • rester dans la qualité d’écoute optimale.
  • agir au plus près de ma conscience et avec professionnalisme.